
Entre les XVIe et XIXe siècles, des femmes enceintes non mariées allaient déclarer leur grossesse… au juge, au greffier ou au notaire. Pourquoi ? Pour ne pas être accusées d’infanticide si leur bébé mourait sans avoir été baptisé. Et ces déclarations, aussi surprenantes que touchantes, recèlent aujourd’hui des trésors pour les généalogistes. Plongée dans une pratique oubliée qui en dit long sur nos ancêtres… et leurs amours contrariées.