Sommaire Généatique info N° 94

Une amie généalogiste m’expliquait l’autre jour sa tristesse de voir son unique fille se désintéresser totalement de ses travaux de recherches généalogiques, réalisés sur un grand nombre d’années, et elle aurait voulu savoir à qui confier la sauvegarde de sa généalogie pour que tout ne soit pas perdu après son décès. Et je pense sincèrement qu’elle n’est pas la seule à se poser la question, car recevoir une généalogie en héritage me semble bien plus compliqué que de recevoir une somme d’argent… Certains héritiers ne comprennent pas vraiment la généalogie et n’y voient que peu d’intérêt, alors que leur proche décédé a consacré un nombre d’heures important à cette étude très sérieuse.

Quelques jours depuis le 16 avril… Hier je suis passée sur la fiche de mon ancêtre Jules Désiré Cordonnier, Poilu de la grande guerre, qui eut la malchance de laisser sa peau le 16 avril 1917 au service de l’offensive du Chemin des dames, autrement nommée Offensive Nivelle. J’ai passé un peu de temps à retracer le parcours de mon ancêtre, et j’ai décidé de partager avec vous ces quelques pistes. Cela pourrait vous inspirer pour reconstituer le parcours d’un soldat de la Première Guerre Mondiale en France, que ce soit un ancêtre, un parent éloigné ou simplement un soldat dont le parcours vous intrigue, et découvrir son histoire pourrait bien être une expérience enrichissante et émouvante.

Qui n’a jamais feuilleté un registre d’actes aux Archives ou une généalogie et trébuché sur des métiers aux noms aussi étranges qu’intrigants ? Mulquinier, bobineuse, mandelier, carlier… Ces mots, aujourd’hui tombés en désuétude, évoquent un monde révolu où l’artisanat régnait en maître. Partons ensemble à la découverte de ces professions oubliées, qui témoignent de l’ingéniosité et du savoir-faire de nos ancêtres. Accompagnez-moi dans un voyage dans le temps, pour découvrir certains des métiers de mes ancêtres !