Avant l’arrivée de l’eau courante, froide et chaude, dans les habitations, prendre un bain était un luxe que peu de personnes pouvaient se permettre.
Au XIXème siècle la presse écrite s’est fortement développée : le nombre de titres disponibles a augmenté, ainsi que le nombre de lecteurs.
A côté des jardins utilitaires, vergers et potagers, l’homme a entretenu depuis l’Antiquité des jardins d’agrément, pour le repos, la promenade et le plaisir des yeux.
Si la chanson dit que c’est Charlemagne qui a inventé l’école, il a fallu attendre un millénaire après sa mort pour que tous les enfants aillent à l’école, au moins les mois d’hiver au début.
Avant les développements de la chimie moderne, qui a modifié radicalement les façons de travailler du monde de la pharmacopée, les remèdes prescrits par les médecins étaient confectionnés par les apothicaires, à partir de divers ingrédients d’origine animale, minérale, et le plus souvent végétale.
Le métier de garde-barrière fait son apparition au XIXème siècle, en même temps que le chemin de fer se développe.
Autrefois il existait un métier spécifique pour celui qui vendait et réparait les casseroles : le ferblantier, du nom de la matière dont était fabriqués les ustensiles de cuisine : le fer-blanc, c’est-à-dire de l’acier recouvert sur chaque face d’une couche d’étain.
Savez-vous d’où les épiciers tirent le nom de leur métier ? C’est tout simple, cela vient du mot épices.
A l’époque où les rues n’étaient pas recouvertes de bitume, et pas toujours pavées, la moindre sortie à pied dans les rues suffisait pour que l’on revienne avec les souliers crottés.
Ce mot ancien qui nous vient de l’espagnol désignait autrefois les dames de la cour qui servaient les princesses de sang royal dans leurs chambres.
